Camp itinérant
Cévennes et Gorges du Tarn 1967 .
Quatre véhicules d'occasion, au kilométrage incertain, ont été achetés, retapés pour partir à l'aventure. Si vous reconnaissez les lieux, les noms de quelques jeunes scouts, n'hésitez pas à utiliser le formulaire pour nous donner le plus de renseignements possibles. Dans la Maîtrise, nous reconnaissons Jean Louis, Michel, Bernard et Jacques.
Les photos qui suivent nous ont été adressées par la fille de Jacques qui faisait partie de la maîtrise dans ces dernières années de fonctionnement de la 24ème.
|
Un univers de gorges va être le cadre de ce camp. |
|
Du fait de l'itinérance, les pauses sont nombreuses, soit à cause du matériel de transport (pannes, surchauffe des moteurs, crevaisons, ...), soit pour sustenter les estomacs des scouts. |
|
Il faut attendre que les moteurs soient bien reposés pour contiinuer le périple. |
En file indienne, nous sommes toujours en tête dans les côtes, les touristes ont du mal à nous doubler et klaxonnent
sans arrêt.
|
|
Enfin, le bout de la côte. Les Pionniers ont failli descendre pour pousser les véhicules. |
|
Une crevaison est l'occasion d'admirer les paysages traversés. |
|
Les quatres bagnoles en file indienne. Traction, Frégate, Juvaquatre, et Fiat 400. De temps en temps les moteurs chauffent. |
|
Panne d'essence pour la juvaquatre de Bernard. |
|
|
Les voitures sont mise en cercle autour du bivouac (comme dans un film de cowboys). On descend le lourd matériel des galeries. Heureusement que ces voitures étaient solides. |
|
Au petit matin, il faut recharger le matériel sur les galeries. |
|
Charger, Décharger la voiture 3 fois par jour. Quel calvaire ! |
|
Pédibus Jamborum pour quelques-uns, le matériel et les Chefs dans les voitures. |
|
De temps en temps, il faut pousser les voitures. |
|
Quand le moteur chauffe, il vaut mieux s'arrêter et admirer les paysages traversés. |
Un peu de tourisme et une pause spirituelle dans l'église du village. Pendant ce temps, les moteurs refroidissent. La traction se verra tout de même attribué une boîte de vitesse toute neuve.
Un petit Clic sur le badge ci-dessous vous permettra de mieux apprécier vos silhouettes.
|
|
Le théatre des exploits. La construction d'un pont peut-elle être envisagée. La configuation du terrain n'est pas la même qu'à Lançon. |
|
C'est ce que pense Jean-Louis l'Archi. Il faudra penser à une autre réalisation. |
|
|
En attendant, on innove. Les anciens veulent initier les jeunes à la chasse au Dahu. Pour cela, il faut se mettre dans les conditions idéales et configurer le camp à cet effet.
Petit rappel, le Dahu est un animal à la chair très tendre et savoureuse qui a les pattes gauches plus courtes que celles de droite. On ne le trouve que sur les terrains pentus sur lesquels il se dandine dans le même sens.
La position et l'emplacement des tentes est étudié pour pouvoir le surprendre à son passage. Il suffira de lui faire rebrousser chemin pour l'attraper.
|
|
Depuis les tentes, les patrouilles ont une vue remarquablement plongeante sur le village où l'Intendance doit aller chercher les croissants pour le petit déjeuner du lendemain, si la chasse au Dahu est réussie. |
|
Pour l'attirer : un petit air de flamenco .
Eh oui, le Dahu a l'oreille musicale. |
|
Au petit matin, la troupe est un peu déçue. Aucune prise de Dahu. Pour déjeuner, il faudra se contenter des éternels Pilchards. Il faut lever le camp et se diriger vers d'autres horizons. |
L'horizon ne change pas tellement. Le bob (Beige pour Jojo) ou le chapeau est de rigueur. |
|
Jean Louis adore prendre la pause, et ne rate aucune occasion pour se faire tirer le portrait. |
|
Mais c'est magnifique ! |
|
Le camp touche à sa fin ? les moteurs n'en peuvent plus ! allez on va monter à l'assaut du château. |
|
|